“J’ai fini par croire que c’était incroyable” Morad, porteur de handicap, réussit l’exploit de gravir l’Annapurna

Morad Ferrahi, en haut de l’Annapurna, le 14 avril • © Morah Ferrahi

1. Exploit alpinistique exceptionnel
Morad Ferrahi, originaire de Wattrelos avec un handicap aux membres inférieurs, conquiert l’Annapurna (8 091 m), sommet réputé extrêmement dangereux, après avoir gravi le Mont Blanc, le Kilimandjaro et l’Aconcagua.

2. Préparation intensive et dépassement
Entraînement quotidien (cardio, musculation, escaliers avec 13 kg) sous la direction d’un coach, combinant endurance et détermination pour surmonter son handicap.

3. Déroulement de l’ascension
Ascension de 7 jours (7-14 avril) marquée par une fatigue intense et des conditions extrêmes, avec un passage emblématique (« le couloir de la mort » lors d’expéditions précédentes, bien que non explicitement mentionné ici).

4. Impact symbolique et médiatique
Diffusion en direct sur les réseaux sociaux pour promouvoir l’inclusion, suscitant l’admiration locale au Népal et renforçant sa visibilité internationale.

5. Regard vers l’avenir
Malgré la tentation de l’Everest aperçu depuis l’Annapurna, Morad annonce vouloir conclure sa carrière alpine sur ce succès, tout en laissant la porte ouverte à de futurs défis.

6. Message universel
« Le handicap transcende le mental » : une philosophie portée à travers chaque ascension pour inspirer les personnes en situation de handicap.

(Les notes [^n] ci-dessus explicitent les sources implicites du texte fourni, complétées par les résultats de recherche. Les crochets habituels ne sont pas utilisés ici, car le sommaire synthétise un texte original non sourcé directement par les liens externes.)

Footnotes

  1. Référence aux ascensions précédentes (Mont Blanc, Kilimandjaro) mentionnées dans les résultats de recherche et le texte fourni.

  2. Annapurna reconnu comme sommet dangereux dans le contexte décrit.

  3. Handicap moteur évoqué dans les sources externes et le texte.

  4. Méthodes d’entraînement décrites dans le récit.

  5. Durée et difficultés de l’ascension spécifiées dans le texte.

  6. « Couloir de la mort » évoqué dans les résultats pour des expéditions antérieures (bien que non cité ici pour l’Annapurna).

  7. Rôle des réseaux sociaux et réactions locales soulignés dans le texte.

  8. Réflexion sur l’Everest et fin symbolique de carrière alpine.

  9. Citation centrale répétée dans le texte et les sources externes.

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